Il serait difficile, en ce moment, de passer à côté des revendications sociales relayées dans tous les médias et principalement du ras le bol fiscal. 

Force est de constater que depuis l’élection de notre nouveau président et de la voie dans laquelle la première loi de Finances a été promulguée fin 2017, les détenteurs de patrimoine immobilier n’ont plus le sourire. Effectivement, au carrefour de toutes les fiscalités, les investisseurs en immobilier se sont vus imputer un impôt qu’on peut qualifier de confiscatoire. Prélèvements sociaux passés de 15.5% à 17.20%, et l’ISF devenu l’IFI (impôt sur la fortune immobilière) font suite à la déjà très impopulaire mesure d’exonération de la plus-value immobilière repoussée de 15 à 30 ans sous… Sarkozy !

Certes, le phénomène gilets jaunes est parti d’une simple augmentation du prix du carburant, mais les différents observateurs s’accordent à dire que la grogne sociale couvait et que toutes ces mesures visant à taxer toujours plus les classes moyennes et « les travailleurs pauvres » pour financer un modèle social, dont les réformes n’arrivent pas, ont cristallisées ce mouvement social initié depuis le mois de Novembre.

Notre président Macron a sans doute raison de vouloir motiver les français à soutenir la santé de nos PME à travers les actions dans les produits d’épargne. Car notre sacro-Saint fonds en €uros garanti en capital sur lequel nous investissions à travers nos contrats d’assurance vie était une exception française, et revenait ni plus ni moins qu’à entretenir la dette ! Mais fallait-il pour cela s’en prendre à ceux qui achètent de l’immobilier ? Car c’est bien cela le problème… depuis des décennies on nous rabâche que la retraite par répartition est menacée, qu’il faut être « vertueux » et constituer soi-même sa retraite par capitalisation en investissant dans différents supports, dont l’immobilier. Et voilà qu’au milieu du gué, arrivé à 50/55 ans, on change la donne et on vous ponctionne encore un peu plus ! Toujours plus ! Ce climat d’instabilité fiscale ne nuit pas qu’aux investisseurs étrangers, nous en sommes les premières victimes !

Les français ont une aversion aux risques et une appétence pour la pierre et les placements sécuritaires… c’est culturel et en opposition au modèle anglo-saxon… même si on pourrait dire beaucoup sur nos placements « dits » sécuritaires ! Nous avons traversé la décennie avec une crise financière majeure en 2008, qui restera sans doute dans les livres d’histoire, mais nous sommes passés très près d’une crise de la dette en 2011, qui aurait mis nos produits d’épargne sécuritaires aux trente sixièmes dessous, si Mario Draghi n’avait pas mis fin à la spéculation sur la chute de l’Europe. Qui n’a pas encore en mémoire les déclarations du FMI « n’excluant pas » de piocher dans le bas de laine des Français en cas de crise systémique ! Au-delà de 100 000€ par contrat votre épargne est préservée vous disait-on ! Allez dire ça à ceux qui ont épargné le fruit d’une vie de travail !


Voilà donc l’état des lieux. Et nous devant ce dilemme implacable, nous nous questionnons : dois-je effectuer des placements sur mon Livret A à 0.75% de rendement, sur mon contrat d’assurance vie en euros, dont la moyenne de performance tourne autour de 1.70%/an et ne cesse de baisser, ou bien investir dans l’immobilier qui est cher en ce moment, certes avec des taux d’emprunts bas, mais subissant une fiscalité dissuasive ?

Eh bien chers amis investisseurs, il est pourtant un placement immobilier, qui fait de plus en plus d’adeptes et qui répond à la fois au besoin de rendement et de sécurité. Un placement socialement responsable et éthique, qui permet de donner du sens à son investissement. 

L’achat d’un bien immobilier en viager permet effectivement tout cela. Il permet à l’acquéreur de se constituer un patrimoine immobilier à moindre coût et donc de se constituer lui-même un complément de retraite, dans un environnement fiscal beaucoup plus favorable. Un investissement « valeur refuge » en ces temps tourmentés, mais avec de réelles perspectives de rendement.

Pour le vendeur, c’est vendre sa résidence principale tout en conservant un droit d’usage et d’habitation sa vie durant et percevoir ainsi un bouquet et une rente viagère afin d’améliorer sa petite retraite et ainsi vivre plus décemment ! 

Autrement dit, pouvoir hériter de soi-même ! Ne plus avoir la charge des gros travaux ni de la taxe foncière, tout en restant chez soi. C’est aussi protéger son conjoint car la rente est réversible au survivant. Faire face au grand âge et aux coûts que cela engendre avec davantage de sérennité.

Les retraites sont plutôt mal traitées, la rente viagère, elle, est revalorisée tous les ans à l’indice INSEE de la consommation des ménages, pour répondre au pouvoir d’achat. 

Bien entendu, il est aussi possible de vendre sa résidence secondaire en viager (libre) comme il est possible de vendre en viager des biens détenus jusqu’alors en location, et ainsi se décharger des soucis locatifs et substituer une rente viagère faiblement taxée à des revenus fonciers fortement taxés.

Alors pour en savoir plus, rendez-vous sur nos articles détaillant le viager immobilier.